Les Chemins de Traverses
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[Parodie] Gradlon n'est pas Chris Carter

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Message  Gradlon Ven 12 Mar - 17:49

Bon, j'ai essayé un truc, j'ai même été suffisamment inspiré pour ça tienne sur 5 pages (c'est fou comment j'ai plus de facilité à écrire de grosses conneries qu'une nouvelle sérieuse… Smile).
Ça part un peu dans du n'importe quoi, je vous préviens. Je vous prie de m'excuser pour la longueur indigeste de ce billet.

Il y a trois notes de bas de pages indispensables.

Insérez un titre ici.

La musique oppressante bien que familière accompagne des images cherchant à instaurer un malaise auprès du lecteur. Ici une sorte de champignon, là, on distingue clairement une silhouette brumeuse, je dirais même fantomatique, capturée par une caméra de surveillance. La musique ne cesse de rendre le tout étrange, et vous ne cessez de remuer sur votre chaise, tout en essayant de garder votre sang froid en vous disant que tout ceci n'est qu'un texte, après tout. Apparaît alors une tête déformée, rappelant aux plus cultivé d'entre vous, Le Cri de Munch. Vous parvenez à lire les noms des personnages principaux de l'histoire qui va suivre, alors que retentissent les dernières notes de la bande sonore. Ça y est, l'ambiance est installé, et vous avez peur.(1)


La voiture s'arrêta sur le parking de ce qu'il semblait être le seul restaurant d'ouvert de la petite bourgade de Trustnone, dans le Missouri. Avant que le contact ne soit éteint, une voix féminine provenant de la place passager à l'avant du véhicule se fit entendre :
«Will you tell me, now, what are we doing here, in this lost place in the Missouri, instead of being in Vancouver, as asked by our boss ?
— Heu… peux-tu répéter ça dans la langue de Pantagruel, s'il te plait ? demanda le conducteur, de sa voix masculine, prouvant ainsi aux lecteurs que c'était un homme. Je suis le doubleur français, et puis ça sera plus simple pour nos lecteurs également.
— Oui, excuse-moi, je te demandais si tu pouvais me dire…
— Quelque chose a été aperçu la semaine dernière dans le ciel, coupa l'homme, qui malgré tout avait très bien compris la question. Comme une lumière vive, quelque chose de pas naturel, mais en même temps de pas humain.
— Ça y est… soupira la demoiselle rousse en détournant le regard de son collègue, pour admirer la vache qui paissait tranquillement dans le champ derrière le restaurant. Encore une histoire d'extraterrestre, je présume ? Mais quand vas-tu enfin cesser de croire à ses sornettes ?
— Lorsque j'aurais une preuve que tout ceci est faux ! vitupéra l'homme. J'ai vu ma sœur se faire enlever et… »
Pour éviter de tout avoir à raconter concernant cet homme mystérieux, je vous invite à visionner l'ensemble des premières saisons d'une série à succès des années 1990.

Les deux collègues en costume trois pièces et tailleur élégant sortirent de leur véhicule et pénétrèrent dans le restaurant routier. Le lieu était occupé par une demi-douzaine de locaux, vêtus des habits de ceux qui travaillent la terre, et d'une serveuse énergique, qui aurait pu passer pour jolie quelques années auparavant, mais qui avait vieillie prématurément dans ce milieu rustre. Les curieux suivirent du regard nos deux intrus jusqu'à ce que l'homme sorte sa carte et commence à parler à la serveuse :
« FBI. Agent Mulder et voici ma collègue, l'agent Scully. Nous enquêtons sur une série de fait étranges survenus dans la région au cours de la semaine dernière. Pouvez-vous m'en dire plus ? »
La serveuse, Betty, comme indiqué au marqueur rouge sur la petite carte agrafée à sa veste, jeta un regard aux agriculteurs derrière Mulder, puis secoua la tête.
« Je ne vois pas ce que vous voulez dire. Il n'y a rien eu ici.
— Pourtant, on m'a fait part de lumières étranges, de signes dans les champs, de lait tourné, poursuivit l'agent du FBI.
— Le lait qu'a tourné, interrompit l'un des hommes en se levant, un grand costaud avec une large barbe noire, c't'à cause du drôle à Bill qui jouait à leur flanquer des frousses du diable, aux vaches.
— O l'a fichu une raclée, dés qu'o l'a su ! renchérit Bill.
— Et les signes dans les blés, c't'à cause des drôlesses de Jack, qu'ont piqué la tondeuse au vieux Ted et foutu le merdier dans les champs.
— O l'a fichu une sacré correction, dés qu'o l'a su ! ajouta Jack. »
Mulder acquiesça, sachant toutefois que toute la vérité n'avait pas été dite.
« Et concernant ces lumières ? »
Les six gaillards se regardèrent, avant de baisser les yeux. Enfin, le vieux Ted prit la parole :
« Les feux follets, on les a tous vu, ils ont tourné beaucoup autour de la maison de John Laverite. C'est lui que vous devriez allez voir.
— Et que fais donc cet homme dans la vie ?
— Laverite est tailleur(2). Vous le trouverez facilement un peu plus loin sur la route. »

Mulder et Scully remercièrent l'homme et sortirent du restaurant. L'agent masculin avait l'air satisfait tandis que l'agent féminin était de plus en plus sceptique. Connaissant la passion de son collègue et son entêtement, elle s'abstint toutefois de faire le moindre commentaire.
Malgré les indications de Ted, ils ne trouvèrent pas la boutique de ce John, et tournèrent en rond pendant plus de cent quatre vingt minutes qui leur parurent des heures. Ils retrouvèrent la route après avoir demandé à un jeune garçon où se trouvait le magasin de ce confectionneur de vêtements, ce à quoi l'enfant leur répondirent que le seul John Laverite qu'il connaissait ne vendait pas de vêtements, mais qu'il était tailleur de pierre, et qu'il exerçait sa profession à la lisière de la forêt.

C'est un homme d'âge mûr, assez petit et mince, qui leur ouvrit la porte.
« FBI. Nous sommes les agents Mulder et Scully et nous aimerions vous poser quelques questions, annonça Mulder.
— Enfin, mon collègue, surtout, rajouta Scully. Moi, j'avoue que je m'en tape complètement. J'ai de vraies affaires à résoudre au Canada.
— Vous êtes bien John Laverite, tailleur de pierre ?
— Oui c'est bien moi. Entrez, je vous prie. »
Les deux agents ne se firent pas prier et pénétrèrent dans la petite maison. À l'intérieur, de nombreuses photos de rochers étaient accrochées au mur. De nombreux outils étaient également exposés un peu partout ; on avait davantage l'impression d'être dans un musée que dans une carrière.
Leur hôte leur offrit un café ainsi que de petits biscuits secs.
Scully décida d'en savoir un peu plus :
« Fi cheu peux me fermettre… commença Dana Scully, la bouche pleine, avant de se faire interrompre.
— Heu… vous pouvez toujours m'attendre dans la chambre en haut, répondit Laverite, tout émoustillé, avant de s'apercevoir qu'il avait mal compris.
— Si je peux me permettre, reprit Dana, après avoir dégluti, vous ne collez pas trop à l'image du tailleur de pierre que j'avais en tête. Et puis, vous n'êtes pas censé travailler dans une carrière ou quelque chose du genre ; à un endroit où il y a de la pierre ?
— Je comprends votre surprise, mais que voulez-vous… je n'allais tout de même pas abandonner ma passion parce qu'il n'y a pas de pierres à tailler dans la région ! Bien sûr, cela me demande beaucoup d'investissement en recherche de cailloux dignes de ce nom, mais j'en suis globalement satisfait. »
Scully se demandait de plus en plus ce qu'elle faisait là. Pourquoi, depuis qu'elle officiait avec son collègue paranoïaque mais néanmoins ami, devait-elle rencontrer tous les fous que ce pays avait enfanté ?


À quelques kilomètres de là, au téléphone public du restaurant de la bourgade. La voix était celle d'un jeune adulte mâle, mais on ne voyait que ses pieds, pour ne pas que vous reconnaissiez sa tête tout de suite. Chaque phrase était suivi d'un blanc le temps que son interlocuteur se trouvant à des milliers de kilomètres ait le temps de répondre.
« Oui. Il est là. Je m'en charge. Oui, je vais gentiment lui demander de garder le silence. Très bien, monsieur. »
L'échange mystérieux ne présageait rien de bon, et ce n'est pas Betty qui aurait dit le contraire, si toutefois la balle logée dans son crâne ne l'empêchait de tenir la conversation. Avant de s'éteindre dans un dernier soupir, elle eut la certitude que l'homme qui venait de raccrocher le combiné dans une maison cossue de Washington était en train de s'allumer une cigarette. Son tueur, quant à lui, sortit sans se retourner et prit la direction de la forêt.

« Parlez-nous donc de ces lumières que vous auriez aperçues la semaine dernière, demanda Fox Mulder au tailleur de pierre.
— Ah mais, je n'ai pas fait que les voir, ces foutues lucioles ! s'exclama John Laverite. Elles m'ont invité à leur bord ! »
Mulder se releva d'un bond, ne pouvant contenir son excitation et fit tomber de sa poche un petit sachet de graines de tournesol.
— Comment ça ? hurla-t-il. Ils vous ont enlevé ?
— Oh, bah, enlevé, c'est un grand mot… Ils m'ont demandé si je pouvais venir, j'ai dit oui, et ils m'ont fait monter dans leur machin ovoïde grâce à un faisceau lumineux qui chatouille l'épiderme.
— Mais… que vous ont-ils fait ? »
La perplexité de Mulder était à son comble. Scully, elle, s'ennuyait.
« Ont-ils procédé à des expériences sur vous ? poursuivit l'agent le plus grillé du FBI.
— Non, non, je ne crois pas. Ils m'ont demandé leur chemin.
— Leur… leur chemin ? »
Mulder n'en croyait pas ses oreilles. Pourtant, elles ne lui mentaient pas ; ça serait accepter qu'une partie de notre corps est totalement indépendante, et qui plus est, est doté de conscience. N'importe quoi.
« Ben… oui, leur chemin, quoi. Ça arrive à tout le monde de se perdre, surtout ici.
— Vous voulez dire que des extraterrestres parcourent la moitié de la galaxie, et une fois arrivé ici, ils demandent leur chemin au premier humain rencontré, alors que depuis des centaines d'années, ils font tout pour rester caché ?
— Vous savez, répondit le tailleur de pierre dans une forêt, ils ne m'ont pas dit qu'ils étaient extraterrestres. Si j'avais su que c'en étaient, je ne leur aurais même pas ouvert ma porte. Moi, les étrangers… »
Il accompagna son soupir d'un mouvement de la main qui mimait un balai devant sa porte. C'est aussi ça, l'Amérique profonde.
« Mais, à mon avis, poursuivit-il, c'était des hommes comme vous, qui venaient de loin, voilà tout.
— Mais, ils nous ressemblaient ?
— Ben, ils avaient une tête, deux jambes, deux bras.
— Leur taille ? Ils étaient petits ? Avec de gros yeux noirs, et la peau complètement grise ?
— Maintenant que vous le dîtes, c'est vrai qu'ils avaient la couenne un peu terne. Pas bien grand, c'est sûr, mais pas des nains non plus.
— Et où souhaitaient-ils se rendre ?
— Et bien, ils cherchaient la route pour Washington ; ils se rendaient à une sorte de réunion des anciens du complot, je crois.
— Ils ne vous ont rien fait du tout ? Vous n'avez pas développé de cancer ? Vous n'êtes pas enceinte ?
— Pas de cancer, non, j'ai fait une analyse pour mon cholestérol hier et ils n'ont rien remarqué. Quant à savoir si je suis enceinte… je n'ai pas eu mes règles depuis longtemps, mais le fait que je sois un homme est peut-être une des raisons de la perturbation dans mon cycle menstruel. En tout cas, je n'ai pas saigné de là depuis ma dernière chtouille. Par contre, ils m'ont donné une de leur spécialité, une sorte de mélasse ou d'alcool visqueux, je ne sais pas trop. »

Il s'absenta deux minutes puis revint avec un bocal fermé contenant une substance obscure que Mulder et Scully reconnurent immédiatement.
« De l'huile noire ! s'exclama Mulder. N'ouvrez surtout pas ce bocal, il en va de votre vie et de celle de toute l'humanité !
— C'est dangereux ?
— C'est un liquide extraterrestre qui vous fera transformer en esclave !
— Ah bah, je n'en veux pas alors, répondit Laverite en tendant le bocal à Mulder. Je savais bien que les spécialités étrangères n'apportaient rien de bon. Une fois, j'ai attrapé la courante avec une éclade de moules. C'est pour ça que je ne l'ai pas encore ouvert, ce bocal. »
Mulder attrapa le bocal et se tourna vers sa collègue :
« Viens Scully, ne restons plus ici, je crois qu'on nous attend à Washington.
— Super… soupira Dana Scully. Encore une super aventure nous attend, avant de recevoir une fois de plus un blâme de nos supérieurs. »

Les deux agents remercièrent leur hôte et prirent congé. Pendant qu'ils se dirigeaient à quatre-vingt-cinq miles par heure en direction de la capitale, une soucoupe volante se matérialisa quelques secondes au-dessus de Shanghaï, mais par un incroyable concours de circonstance, aucun de ses vingt millions de citadins ne leva les yeux vers le ciel, et le fait ne fut relevé par personne(3). Au même moment, Tooms se préparait un petit en-cas au foie humain, Donnie Pfaster faisait la manucure d'une fille trouvée le trottoir, et un jeune homme dans la maison d'un tailleur de pierre au chômage technique était au téléphone ; il tenait dans sa main gauche un paquet de graines de tournesol.
« C'est fait, il ne révèlera rien à personne. Par contre, je n'étais pas le premier… Mulder, rajouta-t-il après une pause. Très bien. »
Il raccrocha le combiné. Il cru sentir l'odeur caractéristique des Morleys passer à travers le câble téléphonique. « Saleté de fumeur » pensa-t-il.

Sur la route de Washington, la nuit commençait à tomber et Scully bailla.
« Arrêtons-nous à ce motel, Mulder. Je suis fatiguée. »
Les deux agents descendirent donc au motel et demandèrent deux chambres contigües, bien que Scully argumenta pour réduire les frais du FBI et n'en prendre qu'une. S'ensuivit un dialogue passionné entre les deux collègues, Mulder arguant que le Bureau pouvait bien leur payer la sauvegarde de leur intimité et Scully insistant sur le fait que les Affaires Non Classées n'était pas le service le plus riche du pentagone. Fox appela alors leur supérieur, Skinner, qui abonda dans son sens, non sans l'avoir au préalable demandé ce que diable faisaient-ils là tous deux au lieu d'être au Canada. « Ah ! » fit Scully, d'un air qui voulait dire « Je te l'avais dit que nous n'avions rien à faire ici. » et elle poursuivit par un « Ah ! » qui ne pouvait que signifier « Mince… Skinner lui donne raison sur les deux chambre. »
« Bon, j'ai la 42, dit Dana, lasse, n'hésite pas à me rejoindre tout à l'heure pour papoter un peu. »
De fait, Mulder s'ennuya rapidement dans sa chambre et la rejoint dans l'idée de faire une partie de poker, comme il venait de voir à la télévision le célèbre chanteur français Patrick Bruel repartir en slip après sa lamentable défaite à un tournoi de Texas Hold'em. Scully était étendue en robe de chambre sur son lit, lascive, et avait les yeux rivés sur la télévision.
« Tu regardes quoi ? s'enquit Fox.
— Une série dont le premier rôle est tenu par ton acteur… il est si sexy… minauda son amie.
— Je ne sais pas si tu le trouverais aussi sexy en travesti…
— Allez, viens t'asseoir à mes côtés, grand fou… »

La suite de ce qui se passa dans cette chambre ne sera pas racontée ; sachez toutefois, pour votre plus grande déception qu'il ne s'y passa rien de sexuel. Toutefois, cela donna le temps à l'immonde tueur de les retrouver et de les surprendre.
La porte de la chambre s'ouvrit avec fracas, dévoilant nos deux agents en pleine partie de mime, où chacun à leur tour ils tentaient de faire deviner à l'autre une éminence de leur direction. Le tueur braqua son arme vers Mulder.
« Cessez ce jeu stupide ! intima-t-il. Je vais enfin avoir le plaisir de te tuer, Mulder.
— Krycek ! Maudit sois-tu ! »
Mulder n'eut pas le temps de finir d'insulter son ennemi. Alex Krycek tira mais la balle n'atteint pas Fox Mulder, ni même Dana Scully, ni aucun autre élément de cette pièce. Elle se volatilisa à quelques millimètres du crâne de l'agent, sans raison particulière. Tout le chargeur y passa, sans qu'aucune des balles n'atteigne une quelconque destination. Dépité, le tueur tomba à genoux.
« Pourquoi ? demanda-t-il à l'univers entre deux sanglots. 
— La réponse est évidente, commença à expliquer Fox Mulder. Tu ne peux pas me tuer. Tous les fans de la série savent que… »

ATTENTION : ce qui va suivre est un immonde spoiler de la série. Lisez donc la suite à vos risques et périls. Oh ! Tant que j'y suis dans les spoilers : Dark Vador est le père de Luke Skywalker et de Leia, Mufasa se fait tuer par Scar, Frodon perd un doigt, Zelda est sauvée par Link mais elle se fera à nouveau capturée et cette histoire n'aura pas de fin satisfaisante.

« La réponse est évidente, reprit Fox Mulder. Tu ne peux pas me tuer. Tous les fans de la série savent que tu ne parviens jamais à me tuer et que Skinner te loge une balle entre les deux yeux dans le season final de la saison huit. Ha ! Ha ! Ha! »

C'est en riant de bon cœur que Mulder et Scully repartirent vers Washington, en laissant Alex Krycek pleurer comme un enfant à qui on aurait volé ses friandises.

La fin de l'histoire peut se résumer ainsi : Scully continue de penser que tout ceci n'est qu'une mascarade, Mulder croit dur comme fer qu'il va trouver des indices sur les extraterrestres. Finalement, il s'avère qu'il a raison mais comme il ne peut ramener des preuves, alors tout le monde se fout de sa gueule. Cela ne le décourage pas outre mesure, et Scully l'accompagne vers d'autres aventures, dans l'espoir secret de faire un bébé avec lui. L'homme à la cigarette s'allume une clope.

(1) Si cela n'a pas bien fonctionné sur vous, dites-vous qu'en entendant réellement la musique et en voyant réellement ces images, vous seriez peut-être effrayé. Alors faites un effort d'imagination.
(2) Note au lecteur : ce jeu de mot a été déposé devant la commission internationale de contrôle des calembours, une plainte ayant déjà été formulée contre lui. Merci de ne pas l'utiliser dans un autre contexte avant de connaître le verdict de la cour.
(3) À l'exception d'un enfant de quatre ans, de deux chiens et d'un vieillard atteint d'Alzheimer. Bien qu'ils se manifestèrent tous, personne ne fit grand cas de leurs aboiements.

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Message  Kalys Sam 13 Mar - 17:41

Laughing

J'ai beaucoup aimé!
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Message  Gradlon Sam 13 Mar - 19:34

Ravi que ça t'ai plu Smile
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